jeudi 7 janvier 2010

La Directrice de la DDASS avait prévenu le Collectif ASM, elle avait raison!

Dans notre article du 2 décembre, nous avions relaté en partie notre rencontre à la DDASS et noté une partie des propos de Madame SADOULET, Directrice et prévenu nos lecteurs.
Rappelez vous
"Et pour terminer quelques réflexions autour de la phrase qui nous a été livrée au cours de cette réunion " les salariés auront le choix entre Pôle Emploi et la prison, devant la Police, ils parleront".Optimisme excessif de la DDASS, c'est fort probable, mais que malgrè notre dépression, il nous soit permis de réver qu'il existe au moins un soignant qui comprenne ce que le terme de soignant veut dire et alors notre situation aura permis que la morale soit sauve et qu'enfin les résidents reviennent au centre des préoccupations de l'ASM (l'ont-ils été un jour?) et du personnel (restent-ils des courageux?)."
Aujourd'hui les faits donnent raison à Madame SADOULET...et au Collectif.
Plusieurs salariés de la MAS ont déjà reçus leurs convocations pour être entendus par les forces de l'ordre.
Notre devoir de réserve dans cette affaire pénale qui démarre ne nous permet de rappeler ici simplement que quelques remarques.
Le combat que mênent les mutés mutins pour se défendre ne sera pas resté vain, s'ils ont été mutés pour protéger l'omertà institutionnelle, les responsables devront en répondre.
La Direction "qui savait" devrait se faire quelques soucis...
Celui qui tait, à quelque niveau que ce soit, des faits de maltraitance sur personne vulnérable commet un délit passible de prison.

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